La cuisine sans prise de tête
Je te le dis cash : je suis passée du mode célibataire ultra-spontané à celui de… marâtre du jour au lendemain. Passer de « je mange ce que j’ai sous le coude » à « il faut nourrir une famille »… c’était un vrai choc. Deux gosses qui aiment rien, mon Breton-chéri...